Jusqu’à aujourd’hui, il n’existait qu’un seul traitement, à base de cisplatine, pour lutter contre le cancer métastasique de la vessie utilisé depuis près de 40 ans.
Récemment, une alternative grâce à l’immunothérapie, l’atezolizumab, a vu le jour et semble prometteuse, grâce au même mécanisme expliqué dans l’article précédent où des chercheurs ont réussi à rendre vulnérables les cellules cancéreuses par le système immunitaire et ses lymphocytes T.
Actuellement, il existe trois dérivés, l’atezolizumab, le nivolumab et enfin le pembrolizumab qui ont chacun reçu une autorisation européenne de mise sur le marché en indication lors d’échec des traitements de première intention. En revanche, aucun de ces 3 est encore remboursé en France.
Le taux d’efficacité de ce traitement seul est actuellement de 20% mais les chercheurs espèrent un taux de 30 à 40% en combinant plusieurs immunothérapies.